Mélomane, Magali de Prelle se consacre dès l’enfance à l’étude de la musique : solfège, piano et guitare complétés par la diction, la déclamation et le théâtre.

A vingt ans, elle est admise au Conservatoire National de Musique de Paris et termine ses études trois ans plus tard avec un Premier Prix de Chant attribué à l’unanimité et avec les félicitations du jury.

Lauréate de plusieurs concours nationaux et internationaux (Paris, Alès, Béziers, Rennes, Metz et Bruxelles), elle se lance aussitôt dans la carrière de belcantiste en France et à l’étranger : Die Zauberflöte à l’Opéra de Massy, Parsifal et Zaïde (rôle titre) à la Cité de la Musique et à l’Opéra de Rouen, Un ballo in maschera, Don Carlo et Roméo et Juliette (rôle titre) au Grand Théâtre de Tours, L’Elisir d’amore (Adina) à L’Esplanade-Opéra de Saint-Etienne, Don Carlo au Théâtre du Capitole de Toulouse, L’amour des trois oranges à l’Opéra d’Amsterdam, L’amour de loin de Saariaho (Clémence) à Berlin et au Théâtre du Châtelet.

Parmi ses récentes prestations, on peut citer Orphée et Eurydice (rôle titre) au Grand Théâtre de Reims, La Gazza ladraCarmen aux Chorégies d’Orange. (Ninetta) à l’ Opéra de Massy et parallèlement à sa carrière lyrique, elle se produit régulièrement en concert, tant dans le domaine de la mélodie (récital à la salle Molière de Lyon, au festival Les Heures Romantiques, à la maison de Chateaubriand, au Festival des Nouveaux Interprètes, au Grand Théâtre de Tours, au Festival de Lacoste, à l’Opéra de Nancy, à la Sorbonne dans un progamme d’airs d’opéras de Mozart), que dans celui de l’oratorio (le Requiem de Brahms et le Stabat Mater de Poulenc à Saint- Etienne ainsi que le Stabat Mater de Pergolesi à Courances et Die Schöpfung de Haydn à la Sorbonne).

Ses futurs engagements comprennent notamment Cosi fan tutte (Fiordiligi) à Bourges suivi d’une tournée en France, Clémence dans L’amour de loin de Saariaho à Clermont- Ferrand…